Les marques du vide
En 2187, dans un laboratoire souterrain à Genève, un chercheur en neuro-physique avait apprécié au rangée une pratique révolutionnaire : un dispositif pouvant regarder le mental humaine de concert exactement trente-sept secondes. Le corps restait en stase globale, les attributions nécessaires ralenties à l’extrême, durant que l’esprit